De temps en temps, il peut advenir que les personnes très âgées soient lassées d’être en vie. La plupart d’entre elles demandent à son gériatre d’abréger leurs souffrances et elles finissent par l’inciter à pratiquer l’euthanasie. Pourtant, la formation soins palliatifs propose une solution qui soulage pour un moment. Celle-ci est un remède d’une efficacité momentanée. Les symptômes qui permettent de déceler cette fatigue sont à découvrir afin d’y apporter remède.
Les symptômes annonciateurs de la volonté de mourir
La force morale d’une personne est diminuée lorsqu’elle atteint l’âge de la retraite. Au fur et à mesure, sa situation psychologique s’empire. Par conséquence, ce patient a horreur de sa vie et en a marre d’exister. Cette lassitude semble être la conséquence de la perte d’autonomie. À ce stade, les seniors se mettent dans l’incapacité de recevoir une solution et de prendre sur soi leurs responsabilités personnelles telles que se faire comprendre, se nourrir et se laver.
Aussi, sans compter qu’ils négligent leur santé, ils traitent leur hygiène physique avec moins de soin. Selon l’INSEE, pour les femmes cette perte d’autonomie commence généralement à l’âge de quatre-vingt-trois ans et pour les hommes à l’âge de soixante-huit ans.
La période de lassitude de l’existence
Dans la discipline médicale destinée à la science de la santé et aux soins des personnes âgées, la période de l’achèvement de la vie s’appelle le long-mourir. Durant cet espace de temps, les patients âgés éprouvent de l’ennui face à sa vie vaine et dépourvue de certain sens. Et ils cherchent à empêcher le gériatre de prendre soin de sa santé. Et ils croient qu’au moment où les traitements curatifs se montrent sans effet, la mort s’avère être la solution finale à leur souffrance physique et morale. Les médecins spécialistes de gériatrie appellent cela « la peur de souffrir ». Il y a aussi le « syndrome de glissement ». Parfois, ces patients n’acceptent pas de suivre les traitements prescrits par leur docteur. Outre, ils ne veulent pas s’exprimer. Tout cela met les soignants dans l’embarras.
En conclusion, peu importe les comportements des personnes âgées, il est du devoir des docteurs d’accompagner leurs patients et d’améliorer ses qualités de leur vie.